Kilomètre 70. Le serpent, semble-t-il, a décidé aujourd’hui de me servir une petite leçon d’humilité. J’ai eu l’affront de piétiner l’échine du monstre et me voilà hagard, le cul sur une glacière, attendant la fin d’une gigantesque averse abrité par le coin du chapiteau de Lilians, ravitaillement numéro dix.
« Excuse me… »
[Mais où est la suite? Eh bien, les textes de mon blog, ainsi que plusieurs inédits, seront bientôt publiés par les Éditions de l’Homme dans un livre de 250 pages! Sortie prévue le 9 mars 2016.]
Joan Roch / Ultra-ordinaire 
On ne dirait pas à la lecture que tu as finalement bien figuré en terme de classement!!! Encore une fois ton mental de fer a eu raison de la fatigue, de la douleur et du découragement. Superbe écriture, mais terriblement difficile à lire pour un père…
Tu es trop impressionnable 😉
Bravo Joan pour cette exploit! Encore un super recit de ton Ultra au Vermont.
Merci Richard. Qu’est-ce qu’on ne ferait pas pour rapporter de belles histoires!
Ô que c’est bon ton truc… J’ai toujours hâte de te lire, imagé et drôle ( désolé mais l’histoire des irritations = on sait tous que ça arrive mais c’est toujours plus comique quand c’est bien raconté ) ! Merci et bon UTMB
Hihi! Mais j’insiste, les faits racontés sont tous véridiques et anonymisés pour protéger la réputation des coureurs 😛
Une fois de plus, c’était un plaisir de lire ton billet!
Merci Maxime! C’est un plaisir que de lire ton commentaire 😉
Bravo Joan Roch. Merci pour ton récit et bon UTMB.
D’arriver à combattre les démons internes est probablement la chose la plus difficile qu’on ais à surmonter en Ultratrail. Tu en auras besoin à l’UTMB. Bravo pour ta persévérance. Toujours un plaisir de te lire.
Bravo Joan, et à dans un peu plus de deux semaines, à 1200 m d’altitude !
Oh que oui! Merci encore 🙂