Ça monte, et assez raide en plus. Le problème, c’est que le sommet est invisible. Pire, il n’y a ni sentier ni carte de cet endroit. Et pour compliquer le tout, je suis le premier à gravir cette pente. Jamais personne n’est passé par là. Personne ! Je vous le jure.
[Mais où est la suite? Eh bien, les textes de mon blog, ainsi que plusieurs inédits, seront bientôt publiés par les Éditions de l’Homme dans un livre de 250 pages! Sortie prévue le 9 mars 2016.]
Mon cher fils, ce nouvel article est plein de bon sens et de modestie par rapport à notre rapport à l’effort et à la performance. Tu parles de la pente descendante, inéluctable, et je dois être entrain de l’emprunter cette pente insidieuse mais je résiste comme toi tu résisteras. Ton exemple est inspirant comme disent les québécois!
Je suis certaine que tu n’es pas à la veille de décliner. J’aurais bien aimé voir le décompte des calories dépensées par année ! Pour moi c’est le premier critère LOL
Très intéressant! Les deux premier graphiques sont révélateurs, je vais faire l’exercice, bien que ça fait seulement 16 mois que je cours. Je t’avoue que je t’ai un peu perdu dans ton pelleteur de nuages, mais il m’intrigue…
Je n’ai jamais entendu parler de statistiques de façon si poétique. Très belle plume! Il semble que le thème de la montagne est récurrent chez les coureurs… Encore une fois, très beau texte.
Encore une fois, on ne peux qu’en redemander …, Excellent … 😉