Silhouette longiligne, allure féline, barbe et cheveux en dreadlocks, sourire discret et accent créole. Si je n’arrivais pas à me remémorer son nom, j’avais repéré ce personnage dès le jeudi précédent lors de la réunion d’avant-course et de la présentation des favoris. Il en faisait partie, en tant que figure légendaire du trail antillais et ancien vainqueur de la TransMartinique.
[Mais où est la suite? Eh bien, les textes de mon blog, ainsi que plusieurs inédits, seront bientôt publiés par les Éditions de l’Homme dans un livre de 250 pages! Sortie prévue le 9 mars 2016.]
Joan Roch / Ultra-ordinaire 
Salut Joan,
Un super de gros merci pour avoir partagé ta course ! C’est toujours aussi agréable de lire tes récits 🙂
Aussi un très gros bravo pour ta perf.
En espérant te croiser sur le bitume enneigée québecois cet hiver ou si le temps nous le permets autour de quelques bonnes bières… Une Trois Monts vosgiennes peut-être ?
De mon côté j’espère être physiquement prêt pour faire mon premier ultra fin 2015.
Bertrand
Vraiment vraiment , un récit extraordinaire …quel conteur es-tu…très inspirant et égale à toi même …un idole …un frère, à qui on a le goût de faire confiance afin de suivre ses traces …Bravo bravo Joan et à bientôt
Wow, un énorme Merci Joan pour le partage… en ce moment de repos de planification de saison… tu viens de donner un gros + à ma motivation. Bravo pour ta course et ton merveilleux texte!
Aucune mention de problèmes avec ta (tes) lampe(s) frontale(s). Il faut comprendre que ça a été de ce côté? Ou encore aurons-nous droit à un texte entièrement dédié à cet objet? 😛
Encore une fois bravo pour cette course et bonne continuation dans l’analyse de tes graphiques!
J’ai suivi ton périple en temps réel sur la page Transmartinique en « live » et quand je t’ai vu remonté de la 27 à la 15ème place, je me suis dit : Ce gars a un plan, il veut finir dans les 10 premiers pour sa première participation à la Transmartinique. Gonflé.
Quand j’ai vu ton classement final sur le site de la course, je me suis dit que 11ème, à ce niveau-là, ça ne changeait rien. Quand j’ai lu ton twitt et la photo avec Widi Grego, 10ème exaequo, je n’y croyais pas.
Je me suis dit que le monde est vraiment tout petit. Je lis les aventures d’un gars, Pictavien vivant au Québec, qui vient de se classer dans les 10 premiers d’une course difficile avec un autre gars, pictavien d’adoption qui habite à 200 mètres à vol d’oiseau de chez moi, que je croise régulièrement dans le bois de la Norée et le parc de Blossac lors de mes entraînements et dont je ne connais le nom que depuis deux mois, depuis qu’il a remporté le « Jungle Marathon » au Brésil.
Ce récit de course a tout d’un récit initiatique.
C’est très beau et très enthousiasmant.
Je savais bien que cela ferait un récit extraordinaire! La trace de la plume est tout aussi fantastique que la suite de tes pas dans ces épreuves extraordinaires! Bravo Joan!
Beau récit, merci!
Il manque un mot: « On monte sans jamais savoir quand ça finir. «
Très beau récit qui retrace exactement tout ce qui nous traverse dans cette course. Mon meilleur classement sur la Trans est 32ème en 26 heures (abandon en 2014 à Saint Joseph) mais d’après votre histoire, nous passons par les mêmes sentiments, les mêmes souffrances et chaque frontale aperçue devant est une nouvelle occasion de recommencer la course. Vous vivez cela en plus accéléré.
Widy est en effet un personnage extraordinaire et tellement simple qu’il ne pouvait en être autrement sur ce parcours. Félicitation.