Histoire de chaussures

Les coureurs souffrent de fétichisme de la chaussure. Naïvement, je pensais que les minimalistes n’en souffraient pas. Mais eux aussi ne parlent que de ça.

[Mais où est la suite? Eh bien, les textes de mon blog, ainsi que plusieurs inédits, seront bientôt publiés par les Éditions de l’Homme dans un livre de 250 pages! Sortie prévue le 9 mars 2016.]

14 réflexions sur “Histoire de chaussures

  1. Aaaah les chaussures, sujet sensible chez nombre de coureurs, encore plus si elles sont des femmes . D’ailleurs, j’en connais un rayon sur le sujet. Dans l’absolu je suis plutôt d’accord avec toi, la chaussure n’est qu’un outil au service du pied. MAIS… pour que cet outil ne devienne pas un boulet, chacun aura ses propres critères. Par exemple, les merrells que tu cites et que j’ai essayées, sont très handicapantes dans la boue. Alors on peut dire que c’est une question d’entrainement, n’empêche qu’avec des chaussures à bon grip on passe les dévers sans se tordre les genoux. Par contre, ces mêmes chaussures à bon grip seront des boulets sur route. Alors dans le fond, quitte à porter des semelles, autant les adapter au terrain qu’on foule pour que courir reste un plaisir. Car au fond, c’est bien ça qui compte.

    • Très bonne remarque. En effet, les Trail Glove dans la boue, c’est zéro. Ça m’a d’ailleurs joué des tours dans le passé (lors des 100 miles d’Haliburton par exemple).

      C’est aussi mon inquiétude principale pour la course qui s’en vient à St-Donat. Car de la boue, il y en aura. Et d’autres chaussures, je n’ai pas !

      Si la nature me sert une nouvelle fois une bonne leçon, j’aviserais…

  2. Au fait, pour les femmes, c’était un plaisanterie lourdingue, même si j’entre moi-même dans ce cliché 😉 Mais de moins en moins car j’ai de plus en plus de mal à trouver ce qui me convient.

  3. Alors au final, tu conseilles quoi comme modèle pour courir plus vite? J’aime bien le footing, mais honnetement, je ne suis pas prêt à y investir le temps, je compense avec du matos onéreux: plus les bas de compressions sont chèrs, mieux je devrais courir! 😉

    Super article en passant.

  4. Très bon article !
    Quand on veut courir pieds nus , on oublie les crampons et on s’applique , c’est cela aussi prendre du plaisir !
    Je cours en Trail Glove depuis 10 mois , j’aime beaucoup ses chaussures et je fini par m’adapter même dans la boue.

  5. Pour les habitués des chaussures minimalistes, je recommande pour l’été les Sandales Luna. Essentiellement, ce n’est qu’une semèle et c’est très bien ventilé… Je les portes sur route et en sentier. Ma distance maximale en sandales a été de 44 km. Mais je ne les ai pas portées pour mon 38 à St-Donat sachant que ce serait trop accidenté. C’est pourquoi j’ai mis mes VFF Spyridons.

  6. Lors de l’essai de vos futures chaussures, veillez à ce que vos orteils ne touchent pas le bout des baskets. Il est même recommandé de laisser environ un centimètre d’écart pour éviter que, durant la course, vos pieds n’aillent s’écraser sur l’avant de la chaussure vous causant ampoules et ongles noirs.

    • Oui, c’est un excellent conseil pratique. J’applique ça depuis toujours, et depuis plusieurs années sans chaussette, et je n’ai ni ongle noir ni ampoule, même après 26 heures à courir dans la boue. C’est un avantage indéniable!

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